Guide pratique : comment investir dans l’immobilier

En 2019, plus d’un million de ventes immobilières ont été enregistrées en France. Ce chiffre est non seulement 10 % plus élevé que celui enregistré en 2018, mais constitue également un record jamais atteint auparavant. Une preuve, s’il en fallait une, que l’investissement immobilier continue d’être perçu par les ménages comme une valeur refuge qui leur permet de sécuriser leur patrimoine et vivre confortablement, même en période de crise. Si vous envisagez d’investir dans l’immobilier, ce guide pratique qui vous est proposé par PatrimCity vous montre toutes les étapes à suivre.

#1 Déterminer le budget prévisionnel de son projet immobilier

Tout d'abord, vous devez avoir une idée précise du budget que vous souhaitez allouer à votre projet immobilier. Pour ce faire, vous pouvez commencer par réaliser une petite étude de marché afin d’avoir une idée des prix dans les zones où vous souhaitez acquérir votre bien.

Cela vous permettra notamment de déterminer si vous avez les moyens de vos ambitions ou si vous devez réfléchir à d’autres solutions pour concrétiser votre projet, ce qui constitue déjà un très bon point de départ.

Grâce à son expertise et sa maîtrise du marché immobilier à Montpellier et Lyon, PatrimCity est à même de vous aider à effectuer une étude précise sur votre budget, ainsi qu’une étude de marché, afin de vous aider à concrétiser votre projet immobilier en tenant compte de vos finances et vos exigences.

L'évaluation de votre budget doit prendre en considération plusieurs paramètres importants, tels que :

-        1 - L’apport personnel

Votre contribution personnelle est le montant dont vous disposez et qui sert d’avance pour acquérir le bien convoité. Il est généralement constitué de votre épargne, de vos prêts familiaux, etc.

Plus cet apport est conséquent, plus vous serez en position de force lors de la négociation de votre prêt auprès de la banque. Et pour cause, cet apport constitue une garantie importante pour toutes les institutions financières qui accordent des prêts immobiliers.

-        2 - Les revenus

Il faut compter, généralement, entre 5 et 20 ans pour rembourser un prêt immobilier. Il est donc extrêmement important de savoir si vos revenus sont à même de vous permettre de réaliser un investissement immobilier, sans porter préjudice à votre qualité de vie.

Pour savoir combien vous gagnez, vous pouvez additionner votre salaire, vos primes, vos avantages en nature, vos allocations familiales, etc.

-        3 - Les charges

Vos dépenses récurrentes constituent le dernier indicateur sur lequel vous pouvez vous appuyer pour évaluer votre budget. Les dépenses récurrentes les plus courantes sont bien sûr :

  • L'abonnement téléphonique ;
  • Le chauffage, l'électricité, l'eau ;
  • Internet ;
  • Les impôts ;
  • Les crédits en cours ;

#2 Rechercher un bien immobilier

Maintenant que vous avez une idée précise de vos capacités d’investissement, vous devez rechercher le bien immobilier qui correspond le plus à vos attentes. Afin de gagner du temps et trouver le bien le plus adapté à votre situation, le mieux est de vous adresser à une agence justifiant d’une remarquable expertise dans le domaine immobilier comme Patrimcity.

Maîtrisant parfaitement les données du marché immobilier montpelliérain et français de manière globale, nos spécialistes seront ravis de vous écouter, d’étudier votre situation, de vous conseiller et de vous accompagner durant toutes les étapes nécessaires à la réalisation de votre projet patrimonial immobilier.

En plus de cette assistance de choix, nous vous proposons également un large panel d’offres d’appartements neufs, ainsi que des programmes immobiliers exclusifs où vous pourrez profiter pleinement du bien-vivre qui fait la réputation de Montpellier.

Écoute, réactivité professionnalisme et disponibilité seront au rendez-vous. De plus, pour la réalisation de votre projet immobilier, vous n’aurez pas de frais d’intermédiaire ou d’agence. 

#3 Signer l’avant-contrat    

 Dans l’achat d’un logement en VEFA (Vente en l’État Futur d’Achèvement), l’avant-contrat est en premier lieu un contrat de réservation du bien pour l’acquéreur, qui va ainsi avoir la certitude de bien recevoir son logement après achèvement des travaux de construction, et ce au prix convenu au préalable, même si, au moment de la livraison du bien, les prix du marché auront augmenté.

L’avant-contrat est, certes, recommandé et avantageux pour l’acquéreur lors d’un achat en VEFA, surtout en cas d’achat sur plan d’un logement dont on vient à peine d’entamer les travaux de construction. Mais il convient de noter que cet avant-contrat ne revêt aucun caractère obligatoire, d’un point de vue légal. Il vous est donc tout à fait possible de signer un contrat de vente définitif directement.

Si, pour une raison ou une autre, vous décidez d’annuler la VEFA, sachez que la rétractation est possible sous 10 jours après l’envoi du contrat de réservation signé, en recommandé avec accusé de réception. Parmi les autres cas permettant d’annuler une VEFA, notons la non-réalisation d’une clause suspensive, par exemple un prêt immobilier refusé.

L’annulation de la VEFA entraîne automatiquement le remboursement du dépôt de garantie. Ce dernier intervient généralement dans un délai de trois mois.

#1 La promesse de vente dans l’ancien

Dans l’ancien, la promesse de vente est un document que vous signez avec le vendeur, qui l’engage à conclure unilatéralement la vente avec vous. Toutefois, si pour une quelconque raison, vous ne souhaitez pas poursuivre votre investissement, vous êtes en droit de vous désister, contrairement au vendeur. En contrepartie, vous devez verser à ce dernier une indemnité d’immobilisation au vendeur, comprise entre 5 % et 10 % du prix de vente.

#2 La promesse de vente synallagmatique ou compromis de vente

Cette promesse est un engagement bilatéral entre vous et le vendeur qui confirme votre ferme volonté d’acquérir son bien. Appelé aussi compromis de vente, il vous engage à verser une somme comprise entre 5 % et 10 % du prix de vente, qui sera déduite du prix global une fois le contrat de vente signé. Bien que ce document soit un engagement strict entre les deux parties, la vente ne peut évidemment être conclue qu’après la signature de l’acte de vente chez un notaire.

#3 Monter son dossier de prêt

Dès la signature de l’avant-contrat, vous devez rechercher un financement pour votre projet d’acquisition. À cet effet, vous devez construire un dossier que vous enverrez ensuite aux organismes financiers pour l’obtention d’un prêt. Ce dossier doit comporter les documents suivants :

  • Les 3 derniers bulletins de salaire ;
  • Un justificatif de domicile actuel ;
  • Une pièce d’identité ;
  • Vos 3 derniers relevés de compte ;
  • Les 2 derniers avis d’imposition ;
  • Le compromis de vente, ou contrat de réservation (VEFA).

#4 Réception de l’offre de prêt

Une fois votre solvabilité étudiée par l’établissement financier (banques ou organismes de crédit), celui-ci vous fait parvenir une offre de prêt par courrier recommandé. Elle comprend un récapitulatif du montant de la transaction, le taux d’intérêt, la durée du prêt, les mensualités, etc. Vous y trouverez également toutes les conditions générales de prêt.

À noter que la loi Scrivener vous accorde un délai de réflexion de 10 jours. Si vous acceptez l’offre, il ne vous reste plus qu’à la renvoyer à votre organisme de crédit, datée et signée, toujours par courrier recommandé.

Une fois votre prêt accordé, il ne vous reste plus qu’à prendre une assurance habitation et signer le contrat de vente chez un notaire pour conclure la transaction. Notons que la signature de l’acte d’achat chez le notaire intervient généralement quand les travaux de construction du futur logement peuvent débuter.

Le notaire chargé de la vente vous envoie par lettre recommandée un projet d’acte reprenant les termes essentiels de l’acte définitif. N’hésitez pas à lire attentivement ce document pour relever d’éventuelles erreurs sur les termes de la vente. Une fois l’acte notarié signé, vous devenez officiellement propriétaire de votre futur logement.

Pendant la durée du chantier, le promoteur immobilier conserve la qualité de maître d’ouvrage. Il est donc responsable des potentiels dommages que peut subir le logement neuf pendant cette période. En tant que futur propriétaire du logement neuf en construction, vous devrez l’assurer dès qu’il est considéré comme étant hors d’eau hors d’air, au moment où le gros œuvre est terminé, la toiture posée et les menuiseries achevées et que le logement peut accueillir des équipements. A ce stade, l’assurance devient obligatoire.

Si vous souhaitez avoir plus de détails sur les étapes à suivre pour réaliser un investissement immobilier, vous pouvez faire appel à Patrimcity. Nos experts se feront un plaisir de vous prodiguer tous les conseils nécessaires afin d’acquérir le bien de vos rêves.